Avec des mails, des lettres, des dessins, des poèmes, des rébus, vous et vos enfants nous racontez vos moments préférés avec leurs magazines. Et nous, on adore ça !
L’histoire du soir (ou du matin !)
Ah, ce moment délicieux de « l’histoire sur les genoux » : on pose le téléphone, on s’écrabouille sur le canapé, on choisit une histoire, et c’est parti ! « Aujourd’hui, notre rituel du dimanche matin, c’est un « câlin-Astrapi-grasse-mat » ! Mille mercis pour ces moments de bonheurs partagés », écrit Julie, 40 ans et maman de Pauline, sur le site du magazine. Dans nos vies de parents (et d’enfants) sur-sollicités, c’est bon de partager ce moment-là. Et quand on sait qu’un enfant à qui on n’a jamais lu d’histoires arrive en petite section de Maternelle avec 500 mots de vocabulaire en moins, on a bien raison de joindre l’utile à l’agréable.
L’arrivée du magazine dans la boîte aux lettres
« Juliette est abonnée à Pomme d’Api. Joséphine est abonnée à Popi. Toutes les 2 adorent leurs petits magazines. C’est jour de fête quand elles les découvrent dans la boîte aux lettres ! ». Là, c’est Caroline qui nous écrit, mais des lettres comme ça, nous en recevons tous les mois. Le premier courrier au nom de l’enfant, rien que pour lui, et ce rendez-vous à chaque fois familier et à chaque fois différent, quel bonheur !
Et il n’y a pas que les petits qui se précipitent : Louise, 7 ans, nous écrit : « Cher J’aime lire, j’ai adoré « Opération médaillon ». J’ai eu plein d’émotions en le lisant. Je regarde souvent dans la boîte aux lettres pour voir si mon J’aime lire est là. Bisous et à bientôt » (J’aime lire N°513). Et Romane, 13 ans et demi (Okapi N°1096) : « Tout le monde aime tellement Okapi à la maison que je n’ai jamais le temps de le lire ! ». Ne vous battez pas, quand même…
Ce cadeau chaque mois, c’est la fête
« Merci d’avoir inventé J’aime lire. Et merci à ma tante de me les donner chaque mois ». Lino a 8 ans, sa lettre a été publiée dans le N°507 de J’aime lire. Grands-parents, oncles et tantes, parrains ou marraines… vous êtes très nombreux à abonner les enfants que vous aimez à un magazine, et chaque mois quand l’enfant le reçoit, c’est comme un petit rituel qui dit : je pense à toi et tu penses à moi. Vous nous dites souvent que ça vous aide à renforcer les liens avec eux, à combler l’éloignement parfois, à transmettre ce qui a du prix à vos yeux. Et nous, ça nous fait chaud au cœur.
Les maquettes et les recettes à portée de petites (et grandes) mains !
Apprendre avec ses mains, c’est le cœur de la pédagogie de Bayard jeunesse : recettes de cuisine, bricolages, maquettes, expériences scientifiques… découvrir par soi-même permet d’apprendre en s’amusant ! Parents débordés ou pas très doués de vos mains, promis on fait tout pour que ça se passe bien ! Résultat : Arnaud nous écrit, « Bonjour, juste pour vous féliciter pour Pomme d’Api, il est génial, j’apprends plein de choses et moi qui ne suis pas manuel du tout, j’arrive à faire les activités avec mes enfants et c’est super ! ». Ouf !
Et même quand ils sont plus grands, ça ne les empêche pas de partager leur fierté avec nous : « Bonjour la rédac et tous les lecteurs ! C’était juste pour vous montrer les nems fraise-chocolat du numéro 1091 que j’ai fait tout seul. Dites-moi comment vous les trouvez à vue d’œil ! Merci ! » (Ilyès, Okapi N° 1095).
Le passage d’un magazine à l’autre (et ses adieux déchirants)
« Cher Bonnemine (mascotte de J’aime lire, NDLR), maintenant je vais m’abonner à J’aime lire Max. J’avoue que tu vas me manquer et avant de partir, je voudrais remercier tous les dessinateurs et les dessinatrices, et aussi les écrivains et les écrivaines pour tous les romans. Je voudrais que tu leur fasses passer ce message : Merci beaucoup ! » Katel, 9 ans (publié dans J’aime lire N°504)
Cerise, sur le site d’Astrapi : « Moi, j’ai 13 ans. Et même si je suis un peu grande, j’aime toujours lire les Astrapi de ma petite sœur de temps en temps. Merci pour tout ce que vous faites, je suis maintenant abonnée à Okapi… mais j’aimerai toujours Astrapi ! »
« Bonjour, Je m’appelle Tiphaine, je suis une lectrice de Phosphore et cette année je suis à la fac. Ça me brise le cœur de le dire mais aujourd’hui, j’arrête Phosphore. Alors je voulais remercier tous ceux qui ont collaboré de près ou de loin à la création de ce magazine qui m’a accompagné pendant mes années lycées, qui m’a aidé à trouver ma voie, qui m’a inspiré pour mes voyages… » (Reçu par la rédac de Phosphore).
Mission accomplie, on n’a rien à ajouter…